Archives expositions collectives 2018
Communiqué de presse
Le centre d'art de la Fondation François Schneider installé à Wattwiller propose cet automne une exposition collective mettant en relation l'eau et l'art numérique, sous la forme de fontaines, bassins, flux et autres turbulences.
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Gilles Aillaud
Important
Marika Prévosto
À
sandie hatem
jul 1 à 2h10 PM
Gilles Aillaud, Le silence sans heurt du présent
En coproduction avec les Musées des beaux-
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Exposition du 10 décembre 2016 au 05 mars 2017.
Fondation Maeght, 623 chemin des Gardettes – 06570 Saint-
Exposition du 10 décembre 2016 au 30 mars 2017.
Espace de l’Art Concret, château de Mouans – 06370 Mouans-
À l’Espace de l’Art Concret, mettant en jeu le concept d’art total dans C’est à vous de voir..., , Pascal Pineau investit les espaces du Château pour en retrouver la fonction originelle, interrogeant la valeur d’usage des œuvres. Expérimentant les limites du décoratif et de l’ornemental, il ouvre un dialogue entre pièces issues de l’artisanat, du design, objets de brocante et œuvres d’art ‘proprement dites’. Ainsi, les salles d’exposition se transforment en une succession d’espaces domestiques fictifs. Cuisine, bureau, salon, chambre d’enfant, suite parentale… chaque pièce peut se percevoir comme un portrait en creux de l’artiste qui pose un regard introspectif sur une trentaine d’années de pratique artistique.
Sur l’invitation de Pascal Pinaud, Alexandre Curtet, fondateur de Loft interior designers, a été sollicité pour concevoir l’aménagement intérieur de ces espaces en dialogue avec ses œuvres, mais aussi celles d’artistes avec lesquels ce dernier partage des affinités esthétiques, comme Noël Dolla, Mathieu Mercier, Natacha Lesueur, Philippe Ramette…
L’eau, sujet universel et infini, est une source d’inspiration pour de nombreux artistes, des plus classiques aux plus expérimentaux. Dans le cadre d’un projet de résidence de création, en partenariat avec la Région Grand Est, Étienne Rey a créé Turbulences, une installation immersive in-
Etienne Rey, Turbulences, 2018 © Etienne Rey, ADAGP Paris, 2018
Gaëtan Robillard, En recherchant la vague, 2013
L’art numérique est un terme englobant une multiplicité de pratiques, allant de l’installation, la vidéo, l’utilisation de matériel audiovisuel en passant par le mapping. Il semblait alors naturel d’inviter d’autres artistes internationaux à présenter une série d’œuvres explorant les questions de fluide, de liquide et de plasticité avec des outils technologiques pointus et mettre ainsi l’eau à l’épreuve !
Avec Mémoire liquide, Herman Kolgen dépose des photographies au contact de l’eau dans une grande installation composée de bacs, où elles finissent par s’altérer, le papier se dissoudre et devenir pulpe, à l’image d’une mémoire qui se transforme au fil du temps puis s’efface.
Stéphane Kozik donne des comportements vivants à une matière aqueuse troublée d’un nuage de peinture blanche en la faisant gronder et bouillir dans un bassin. Les éléments du dispositif sont synchronisés afin de créer à partir de cette eau, une nouvelle matière à la fois vivante et irréelle, sorte de placenta qui bouillonne, gronde et fume.
Laurent Pernot, Tenir La Mer, 2018 © Laurent Pernot, ADAGP Paris, 2018
Pe Lang propose un minutieux dispositif de perles d’eau tutoyant la froideur laborantine. Laurent Pernot fait Tenir la mer dans une main, sculpture que nos générations pourraient laisser aux générations futures, faute d’être capables de transmettre son sujet dans la pleine poétique dont nous avons hérité.
Les projections ou films de Joanie Lemercier, Jacques Perconte, Gaëtan Robillard et Pierce Warnecke plongent dans des paysages lacustres ou montagneux génératifs ou géométriques. Urbrain, dans Image Latente, offre la matérialité et la poétique de l’eau à l’écriture d’un environnement immersif et interactif pour faire naître un objet qui compose avec la lumière dans une lévitation plastique et par instants irréelle. L’élément liquide de Tristan Ménez est mis en vibration à l’aide d’un haut-
Tristan Ménez, Bloom, 2018
Des banques de données, des algorithmes, des jeux de diffractions, le recours à la stroboscopie sont les outils ou méthodes employés par les artistes et créateurs ici présents. Les pixels deviennent peinture, les vagues sont sculptées, les reflets de la lumière sur l’eau exacerbés et nous emmènent dans un monde hypnotique et intrigant. Au-
Liste des artistes : Herman Kolgen, Stéphane Kozik, Pe Lang, Joanie Lemercier, Tristan Ménez, Jacques Perconte, Laurent Pernot, étienne Rey, Gaëtan Robillard, Urbrain, Pierce Warnecke, Wilfried Wendling (pour la création sonore de l’oeuvre Turbulences).
Exposition du 28 octobre 2018 au 13 janvier 2019. Fondation François Schneider, 27 rue de la Première Armée -
© ArtCatalyse / Marika Prévosto 2007 -