Archives expositions collectives 2020
Enracinés de Douglas White au musée Dauphinois / la ferme
L'artiste anglais Douglas White s'installe durant plusieurs semaines pour explorer les systèmes racinaires des arbres, par soustraction minutieuse des couches d'humus, avec des outils et une méthodologie d'archélogue. Il révèle les fragiles interactions et complicités entre divers arbres, arbustes, buissons et champignons qui évoluent dans le sous-
Avec son installation initulée Pourquoi ici ? Jean-
Communiqué de presse
Du 20 juin au 21 septembre, se développent de nombreux projets sur 7 431 km², portés par le Département de l'Isère sur une proposition artistique du Laboratoire.
Le dépaysement a été longtemps considéré comme un avantage offert au voyageur, puis au touriste occidental. Accompagnant la carte postale, le timbre-
Le dépaysement peut pourtant s'expérimenter pleinement sans se déplacer très loin. Les paysages isérois en particulier sont propices à ces aventures, avec leurs profondes forêts et la démesure de la haute montagne, tout simplement avec une déconnexion des réseaux numériques et téléphoniques. Une autre connaissance du paysage peut alors émerger dans une connivence avec la poétique du lieu et la découverte de ses habitants. Ce que souhaite proposer l'expérience du “Dépaysement”, avec diverses propositions artistiques au fil d'expériences à ciel ouvert, déclinées dans les espaces publics, les parcs, piscines, lacs, alpages et refuges.
Quelques propositions des artistes
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Gilles Aillaud
Important
Marika Prévosto
À
sandie hatem
jul 1 à 2h10 PM
Gilles Aillaud, Le silence sans heurt du présent
En coproduction avec les Musées des beaux-
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Exposition du 10 décembre 2016 au 05 mars 2017.
Fondation Maeght, 623 chemin des Gardettes – 06570 Saint-
Exposition du 10 décembre 2016 au 30 mars 2017.
Espace de l’Art Concret, château de Mouans – 06370 Mouans-
À l’Espace de l’Art Concret, mettant en jeu le concept d’art total dans C’est à vous de voir..., , Pascal Pineau investit les espaces du Château pour en retrouver la fonction originelle, interrogeant la valeur d’usage des œuvres. Expérimentant les limites du décoratif et de l’ornemental, il ouvre un dialogue entre pièces issues de l’artisanat, du design, objets de brocante et œuvres d’art ‘proprement dites’. Ainsi, les salles d’exposition se transforment en une succession d’espaces domestiques fictifs. Cuisine, bureau, salon, chambre d’enfant, suite parentale… chaque pièce peut se percevoir comme un portrait en creux de l’artiste qui pose un regard introspectif sur une trentaine d’années de pratique artistique.
Sur l’invitation de Pascal Pinaud, Alexandre Curtet, fondateur de Loft interior designers, a été sollicité pour concevoir l’aménagement intérieur de ces espaces en dialogue avec ses œuvres, mais aussi celles d’artistes avec lesquels ce dernier partage des affinités esthétiques, comme Noël Dolla, Mathieu Mercier, Natacha Lesueur, Philippe Ramette…
© ArtCatalyse / Marika Prévosto 2007 -
Bien ailleurs, sur le parvis du célèbre château de Vizille, Maarten Vanden Eynde a pris appui sur le célèbre conte des frères Grimm, ‘Les musiciens de Brême’, où un âne un chien, un chat et un coq s'unissent pour survivre en montant les uns sur les autres et former une silhouette monstrueuse hurlant à corps et à cris pour effrayer leurs ennemis. Il s'agit cette fois d'un affichage de nos modes de transport empilés les uns sur les autres, un temps désirés puis promus à la destruction. Cet édifice cocasse et joyeux affiche les vacances, mais avec un grand pas de côté.
Au fil de l'Isère sur le site de Grenoble, la céramiste Alexandra Engelfriet a exécuté un corps à corps avec l'argile dans une tranchée de 40 mètres transformée en four à cuire pour cuire à 1 300 degrés en continu durant 6 jours et 6 nuits une céramique de 30 tonnes. Une forme de transe qui conserve son empreinte dans la matière, meurtrie et sensuelle.
Projet de Maarten Vanden Eynde pour le parvis du château de Vizille