Archives expositions collectives 2019
Communiqué de presse
Topographie de l'Art invite pour son exposition de fin d'année Pascal Pique, initiateur du Musée de l'Invisible. Avec Energaia, celui-
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Gilles Aillaud
Important
Marika Prévosto
À
sandie hatem
jul 1 à 2h10 PM
Gilles Aillaud, Le silence sans heurt du présent
En coproduction avec les Musées des beaux-
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Exposition du 10 décembre 2016 au 05 mars 2017.
Fondation Maeght, 623 chemin des Gardettes – 06570 Saint-
Exposition du 10 décembre 2016 au 30 mars 2017.
Espace de l’Art Concret, château de Mouans – 06370 Mouans-
À l’Espace de l’Art Concret, mettant en jeu le concept d’art total dans C’est à vous de voir..., , Pascal Pineau investit les espaces du Château pour en retrouver la fonction originelle, interrogeant la valeur d’usage des œuvres. Expérimentant les limites du décoratif et de l’ornemental, il ouvre un dialogue entre pièces issues de l’artisanat, du design, objets de brocante et œuvres d’art ‘proprement dites’. Ainsi, les salles d’exposition se transforment en une succession d’espaces domestiques fictifs. Cuisine, bureau, salon, chambre d’enfant, suite parentale… chaque pièce peut se percevoir comme un portrait en creux de l’artiste qui pose un regard introspectif sur une trentaine d’années de pratique artistique.
Sur l’invitation de Pascal Pinaud, Alexandre Curtet, fondateur de Loft interior designers, a été sollicité pour concevoir l’aménagement intérieur de ces espaces en dialogue avec ses œuvres, mais aussi celles d’artistes avec lesquels ce dernier partage des affinités esthétiques, comme Noël Dolla, Mathieu Mercier, Natacha Lesueur, Philippe Ramette…
Cette exposition originale à Topographie de l’Art explore l'art et l'acte d'exposer en soi comme un vecteur et un modulateur d’énergies. Elle est aussi la première du genre à proposer à son public de vivre et d’expérimenter de manière concrète et directe ces phénomènes à travers les œuvres et leur agencement. Elle nous invite ainsi à réinvestir un certain rapport à l’art dans le sens de la prophylaxie et du prendre soin, de soi, des autres et du monde.
L'exposition répond à une nouvelle culture de l’énergie, ou plutôt des énergies, qui se déploie actuellement. Cette profonde mutation touche autant le développement personnel que celui de l’économie de la culture et des sciences. L’art et la création sont l’un des lieux d’expérimentation privilégiés de ce mouvement car ils permettent de cristalliser et d’objectiver, c’est à dire de visualiser et de ressentir véritablement ce qui est de l’ordre de l’invisible des énergies. Les artistes ont depuis toujours entretenu une relation particulière aux multiples formes d’énergies. Dès les débuts présumés de l’art, on peut supposer que l’émergence des premières œuvres tracées, peintes, gravées ou sculptées, est intimement liée à la captation et à la restitution des énergies de la nature, en témoignent les grottes ornées de la préhistoire.
Aujourd’hui, certains créateurs contemporains, de plus en plus nombreux, œuvrent dans cette continuité, tout en croisant les recherches scientifiques les plus en pointe sur les dimensions énergétiques qu’à ouvert la physique quantique. Le crédo quantique nous dit que « tout est énergie ». Mais que signifie plus exactement cette formule ? Comment se représenter ce qu’elle recouvre ? Et surtout, ressentir ou identifier de manière tangible les phénomènes concernés pour en tirer un meilleur parti ? Afin de mieux comprendre ces réalités et certains de leurs enjeux, l’exposition est conçue comme un parcours exploratoire qui invite le visiteur à développer sa perception conjointe des œuvres et des énergies, tout en renouant avec certaines dimensions des éléments naturels.
On peut citer en particulier Erik Nussbicker, dont les crânes actionnent des bruitages incongrus, tel le hululement de la chouette, et d’autres bien différents. Mais aussi Olivier Raud et son vaste dispositif d’ “écoute interstellaire” qu’il faut transposer en extérieur pour lever la tête vers les étoiles dans un confort sommaire. Et les dispositifs secrets élaborés par des artistes, qu’il faut oser actionner, telle la cage aux boules explosantes de Vladimir Skoda.... Un autre aspect de l’exposition est plus particulièrement dédié à la lumière et à la couleur qui permettent de percevoir et de mieux saisir ce qui ressort de l’ordre du rayonnement ou de la fréquence. L’énergie de la psyché et de la conscience, l’un des grands sujets de recherche actuel pour les sciences de la cognition, qui s’exprime directement à travers les œuvres d’art, est également explorée.
Ce nouvel axe du Musée de l’Invisible fait suite aux projets consacrés précédemment au végétal avec le lancement du Manifeste de l’arbre en 2014, à la pierre avec la mise en place Académinérale, et à la dimension visionnaire sous la forme d’expositions, de conférences, de publications, de workshops qui nourrissent une véritable recherche. Comme le souligne Pascal Pique, ce projet inédit à l’échelle nationale et internationale, qui ambitionne de révéler une véritable énergétique de l’art, participe à la transition culturelle et esthétique qui doit nécessairement accompagner la transition écologique et énergétique en cours. Ce qui revient à œuvrer pour une nouvelle culture du vivant, de la biodiversité et donc du bien-
Cette exposition participe d’un programme de création et de recherche en Sciences de l’art/Esthétique mené à l’Université Paris 1 Panthéon Sorbonne dans le cadre d’un doctorat en Sciences de l’art / Esthétique, associé aux activités du Musée de l’Invisible et au laboratoire Art Mondialité Environnement.
Les artistes : Basserode / Philippe Deloison / Jean-
Exposition du 16 novembre 2019 au 8 janvier 2020. Topographie de l’Art, 15 rue de Thorigny -
© ArtCatalyse / Marika Prévosto 2007 -