Archives expositions collectives 2020
Communiqué de presse
L'exposition collective présentée du 27 juin au 25 juillet à la Galerie Chantal Crousel à Paris prend pour thème le court essai “Le Fourre-
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Gilles Aillaud
Important
Marika Prévosto
À
sandie hatem
jul 1 à 2h10 PM
Gilles Aillaud, Le silence sans heurt du présent
En coproduction avec les Musées des beaux-
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Exposition du 10 décembre 2016 au 05 mars 2017.
Fondation Maeght, 623 chemin des Gardettes – 06570 Saint-
Exposition du 10 décembre 2016 au 30 mars 2017.
Espace de l’Art Concret, château de Mouans – 06370 Mouans-
À l’Espace de l’Art Concret, mettant en jeu le concept d’art total dans C’est à vous de voir..., , Pascal Pineau investit les espaces du Château pour en retrouver la fonction originelle, interrogeant la valeur d’usage des œuvres. Expérimentant les limites du décoratif et de l’ornemental, il ouvre un dialogue entre pièces issues de l’artisanat, du design, objets de brocante et œuvres d’art ‘proprement dites’. Ainsi, les salles d’exposition se transforment en une succession d’espaces domestiques fictifs. Cuisine, bureau, salon, chambre d’enfant, suite parentale… chaque pièce peut se percevoir comme un portrait en creux de l’artiste qui pose un regard introspectif sur une trentaine d’années de pratique artistique.
Sur l’invitation de Pascal Pinaud, Alexandre Curtet, fondateur de Loft interior designers, a été sollicité pour concevoir l’aménagement intérieur de ces espaces en dialogue avec ses œuvres, mais aussi celles d’artistes avec lesquels ce dernier partage des affinités esthétiques, comme Noël Dolla, Mathieu Mercier, Natacha Lesueur, Philippe Ramette…
Pionnière de la science-
La plupart de la nourriture provenait alors de la cueillette de pousses, racines, germes, noix, baies, fruits et graines, insectes et mollusques à laquelle s'ajoutait l'apport en protéines des oiseaux, poissons et petits mammifères sans défense. L'auteure estime que 15 heures de travail suffisaient alors par semaine pour vivre alors très confortablement. Il restait donc beaucoup de temps pour s'occuper des enfants, fabriquer des objets, inventer des chants, dessiner ou pour certains, non férus d'art, partir chasser le mammouth, rapporter une grosse prise de viande et d'ivoire, et chaque fois le sujet d'un récit.
L'exposition nous ramène aux temps anciens, de diverses façons, et aux côtés sombres de la vie, tout autant pour l'humain que les autres êtres peuplant la terre. Plus exactement à l'état sauvage, à la nature indomptée, aux pratiques ancestrales encore vivantes ou diversement réactivées. Aux croquis et formes de plantes et d'animaux vivants ou de races éteintes bien loin des centres urbains et à diverses évocations fantomatiques, telle la peinture volontairement floue des Fleurs Fantômes de Gabriel Orozco ou la grande sérigraphie de Jennifer Allora & Guillermo Calzadilla. Gabriel Orozco propose malgré tout à l'autre bout de la salle la suspension toute en légèreté de plumes enfilées dans de fines branches de bambou. Sont bien plus agressives les photographies du chien-
Si vous avez beaucoup de temps à dépenser dans l'exposition, allez découvrir le film d'Ali Abassi, Border, présenté en 2018 à Cannes dans la sélection « Un certain regard ». Le cinéaste d'origine iranienne, qui vit au Danemark, sait ce que c'est que d'être hybride, entre deux mondes. Il traite le genre merveilleux et fantastique d'une manière inhabituelle dans une histoire d'amour basée sur les émotions. Abassi aime les minorités qui même parfois ignorent leur différence au coeur de la banalité des sociétés occidentales. Les créatures fantastiques de Border évoluent ainsi au creux d'un territoire précis, ici la banlieue de Stockholm. S'y inpriment les légendes urbaines, les trolls, les vampires, l'homme devenant animal, le subconscient des gens alimenté par les rêves et les hallucinations.
Il est aussi question de sorcellerie avec les cinq œuvres en résine de Mimosa Echard alignées sur un mur. Dans les tableaux de sa fameuse série « A/B » débutée en 2015, la jeune artiste assemble des matières contradictoires, à l’instar de pilules contraceptives et de plantes favorisant la fertilité. « J’ai été attentive aux relations entre les éléments, au niveau de leurs effets ou de leurs significations : poison/antidote ou sauvage/synthétique, comme pour la cire d’abeille et la cire cosmétique », explique-
Oeuvres de : Ali Abassi, Jennifer Allora & Guillermo Calzadilla, Abraham Cruzvillegas, David Douard, Mimosa Echard, Jean Luc Moulène, Melik Ohanian, Gabriel Orozco, Tim Rollins and K.O.S., Anri Sala, Rirkrit Tiravanija, Danh Vo, Haegue Yang.
Exposition du 27 juin au 25 juillet 2020. Galerie Chantal Crousel, 10 rue Charlot -
© ArtCatalyse / Marika Prévosto 2007 -