Archives expositions collectives 2018
Communiqué de presse
Le Festival Photo La Gacilly s’est imposé au fil du temps dans le paysage photographique français et international, avec déjà 3,3 millions de visiteurs à son crédit. Il exprime toujours, à travers le regard des photographes invités, les grands enjeux environnementaux et sociétaux liés à la mondialisation, cette année du 2 juin au 30 septembre sur le thème "La terre en questions".
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Gilles Aillaud
Important
Marika Prévosto
À
sandie hatem
jul 1 à 2h10 PM
Gilles Aillaud, Le silence sans heurt du présent
En coproduction avec les Musées des beaux-
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Exposition du 10 décembre 2016 au 05 mars 2017.
Fondation Maeght, 623 chemin des Gardettes – 06570 Saint-
Exposition du 10 décembre 2016 au 30 mars 2017.
Espace de l’Art Concret, château de Mouans – 06370 Mouans-
À l’Espace de l’Art Concret, mettant en jeu le concept d’art total dans C’est à vous de voir..., , Pascal Pineau investit les espaces du Château pour en retrouver la fonction originelle, interrogeant la valeur d’usage des œuvres. Expérimentant les limites du décoratif et de l’ornemental, il ouvre un dialogue entre pièces issues de l’artisanat, du design, objets de brocante et œuvres d’art ‘proprement dites’. Ainsi, les salles d’exposition se transforment en une succession d’espaces domestiques fictifs. Cuisine, bureau, salon, chambre d’enfant, suite parentale… chaque pièce peut se percevoir comme un portrait en creux de l’artiste qui pose un regard introspectif sur une trentaine d’années de pratique artistique.
Sur l’invitation de Pascal Pinaud, Alexandre Curtet, fondateur de Loft interior designers, a été sollicité pour concevoir l’aménagement intérieur de ces espaces en dialogue avec ses œuvres, mais aussi celles d’artistes avec lesquels ce dernier partage des affinités esthétiques, comme Noël Dolla, Mathieu Mercier, Natacha Lesueur, Philippe Ramette…
Plus de 15 000 scientifiques ont lancé en novembre 2017 un cri d’alarme sur l’état de la terre, avec la disparition des forêts et des animaux, l’augmentation sidérante des zones mortes marines, ces dégradations intervenant en parallèle d’une augmentation de la population humaine. Les yeux des photographes, dont le festival se porte relais dans ses galeries à ciel ouvert, se posent en douceur ou en révolte pour magnifier, documenter, ou simplement mettre en évidence ce lien vital qui unit les hommes à la nature. Ils sont à leur manière des gardiens protecteurs de la Terre avec leur sensibilité, leur implacable vision de notre société en devenir. L’édition 2018 du Festival de La Gacilly rassemble les plus belles écritures photographiques, qu’elles soient documentaires, photo-
Hymne à la terre, poésie de la nature
Les photographies de la terre prises depuis l’espace par le spationaute Thomas Pesquet dévoilent que notre planète est magnifique, mais périssable, tandis que les images du scientifique Spike Walker nous plongent dans le microcosmos des organismes vivants. Jean Gaumy explore l’abstraction des roches, Philippe Bourseiller la glace et l’eau, Olaf Otto Becker les forêts primaires, Matthieu Ricard l’harmonie avec leur nature des peuples himalayens, William Albert Allard, l’Amérique des grands espaces. Les plus beaux clichés des photographes amateurs d’Image sans Frontière sont exposés, ainsi que le monde animalier dont l’équilibre est menacé : celui, sauvage de l’Américain Michael Nichols, envoûtant de Karen Knorr, ou inquiétant de Jan C. Schlegel.
Des engagements contre les méfaits de la surconsommation
La Fondation Yves Rocher, partenaire du Festival La Gacilly, s’est engagée à planter 100 millions d’arbres d'ici 2020 pour lutter contre la déforestation massive et sensibiliser le public. Le festival présente en exclusivité cette année les travaux réalisés à cette occasion par Brent Stirton en Ethiopie, Emanuele Scorcelletti en Inde et Phil Moore en France. D’autres messages sont transmis aux générations futures par l’intelligence des images de certains photographes. Chris Jordan réalise des fresques grandioses mais trompeuses montrant les méfaits de la surconsommation, l’artiste Stéphane Couturier explore les ensembles surpeuplés qui ont été bâtis, Patrick Tourneboeuf évoque les cités du futur édifiées à la hâte en Inde et en Chine, Fausto Podavini expose les ravages – en Ethiopie – d’une politique de grands travaux pour les populations locales, Frédéric Delangle nous emmène dans les fourmilières humaines du sous-
Stéphane Couturier, la Cité Climat de France. Conçue en pierre de taille pour héberger 30 000 personnes, la Cité Climat de France regorge désormais de 60 000 âmes. Pour illustrer cet étrange phalanstère -
Des perspectives ?
Des solutions peuvent exister à travers le respect des populations, l’harmonie entre l’homme et son milieu naturel, les recherches de technologies innovantes moins polluantes. Miguel Deweyer-
Les résidences photographiques dans le Morbihan
Le Festival de La Gacilly porte une politique de production photographique : la franco-
Nouveauté 2018
Après s’être élargi sur le territoire en 2017 dans les communes voisines Glénac et La Chapelle-
Partenaires publics : ministère de la Culture, Conseil régional de Bretagne, Conseil départemental du Morbihan, Communauté de communes de l’ouest à Brocéliande, Commune de La Gacilly.
Festival du 2 juin au 30 septembre 2018. La Gacilly, Place de la Ferronnerie, 56200 La Gacilly. Tél. : +33 (0)2 99 08 68 00. Parcours à ciel ouvert, entrée libre.
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