Austin : Studiomodo, Clay Odom + Sean Oneill, Flowering Phantasm
Cette installation est d’abord conçue comme une rencontre avec un objet familier dont la forme, la taille et les matériaux restent pourtant étranges. Cette structure en creux est un support évocateur sur lequel chacun laisse son imagination s’épanouir. L’armature, truffée de connectiques, interprète de façon sensible ce qui se passe autour d’elle, retranscrivant par le son et la lumière l’environnement auquel elle appartient et posant là-
Dakar : Officina Mamiwata (Tiziana Manfredi & Marco Lena), Liquid Landscape Studio #3
Liquid Landscape est une évocation du sacré qu’il est possible de percevoir en contemplant la nature. Au gré du flux incessant de l’eau, le collectif Officina Mamiwata fait de ce paysage aquatique, une retranscription symbolique de nos questionnements intérieurs : la conversation avec l’eau ne s’arrête jamais ; elle court dans les fleuves, elle part et revient dans la mer, elle nous souffle dans les oreilles à travers le vent des paroles d’ailleurs, d’autres langues.
Cette installation est dédiée à la mer, celle qui entoure la ville de Dakar mais aussi à la déesse aquatique Mame Coumba surgie des eaux et qui, pour celui qui l’invoque, lui offre prospérité et protection. L’eau, source de vie, détient le secret de la mémoire ; son éternel balancement est insufflé du même mouvement que de ceux de la terre et des êtres vivants.
Enghien-
Tombé du cyberespace, BBot est une sculpture connectée à Internet qui projette des collections d'œuvres d'art en ligne. Comme une exposition dans l’exposition, cette programmation d’œuvres est composée par le travail de 11 artistes : Alix Desaubliaux, Emilie Gervais, Eva Papamargariti, Isabelle Arvers, Joe Hamilton, Katie Torn, Pussykrew, Philip Stearns, Sabrina Ratté, Yoshi Sodoeka, Snow Yun Xue Fu. Cette programmation est conçue spécifiquement pour Data City, et présentée sous la forme d’une navigation Internet en temps réel. Le BBot « surfe » automatiquement, et projette sur les murs de l’espace du Cda, une sélection d’œuvres évoquant la question de l’action de l’Homme sur notre planète et son écosystème. Il est alors possible de parcourir des territoires imaginaires aux paysages saturés et volatiles. Les œuvres révèlent des panoramas artificiels, étranges et parfois post-
Enghien-
Miguel Chevalier travaille avec la lumière et la fait vivre avec des outils de notre temps en utilisant toutes la richesse des techniques informatiques. La série des Voxels Light reprend en volume la question des pixels, les présentant sous la forme de sculptures électro-
Gwangju : Sin Do-
One Eye aborde métaphoriquement l’Histoire de Gwangju, en particulier le soulèvement populaire 518 en référence à la date du 18 mai 1980, date du mouvement pour la démocratisation qu’a connu la Ville. Cet épisode tragique a laissé de profondes cicatrices et Sin Do-
Linz : Verena Mayrhofer, Draw:Er
Verena Mayrhofer joue avec les stéréotypes et les représentations caricaturales véhiculées parfois à l’encontre de chaque pays, autour notamment des questions de patriotisme, de nationalisme et de nostalgie. Cette installation sonore plante le décor d’un intérieur autrichien vintage avec, au mur, une étagère à épices dont chaque tiroir recèle en fait, une anecdote audio. Les visiteurs peuvent ainsi les ouvrir et écouter la parole de personnes du monde entier, invitées à partager ce qu’elles pensent de l’Autriche. Verena Mayrhofer complète ses interviews en recueillant les témoignages d’adolescents, demandeurs d’asile dans la ville de Linz. Leurs discours diffèrent des précédents en ce que l’artiste leur a demandé de comparer respectivement ce qu’ils attendaient trouver à leur arrivée et l’expérience qu’ils ont depuis et la relation qu’ils entretiennent avec le pays et ses habitants.
Lyon : Adrien M & Claire B, La Neige N’a Pas De Sens
La compagnie Adrien M & Claire B, alias Adrien Mondot et Claire Bardainne, crée des formes allant du spectacle aux installations dans le champ des arts numériques et celui des arts vivants. Leur démarche place l’humain au centre des enjeux technologiques, poursuivant la recherche d’un numérique vivant : mobile, artisanal, éphémère et sensible. Dans cette première monographie consacrée à leur travail, une série de six oeuvres en réalité augmentée, permet d’expérimenter leur démarche et donner corps à l’imperceptible. Au-
Sapporo : Norimichi Hirakawa, Datum
Datum est un projet issu d’un programme de résidence à l’Institut de Physiques et de Mathématiques appliquées à l’Univers (Japon), et donnant lieu à une série d’expérimentations autour de la notion de dimension supérieure développée par le mathématicien grec Euclide. L’espace euclidien à 6 dimensions conçoit à la fois la position physique d’un objet, mais aussi son orientation, donnant ainsi lieu à une variété infinie de dimensions dites supérieures. Norimichi Hirakawa expérimente ici le numérique en transposant le pixel, la forme, la couleur, le mouvement, le temps et finalement la transformation par le calcul qui en résulte, comme autant de dimensions capables de révéler l’idée de beauté, perceptible à plusieurs niveaux, dans le monde physique mais aussi dans des dimensions plus élevées.
Tel Aviv : Ran Slavin, Ursulimum
Ursulimum est une odyssée sous-
York : Bright White (Chris Walker Beng (Hons) & Adam Stanning), Collidercase
ColliderCase est un dispositif de présentation d’objets dont le principe repose sur un système optique numérique. York présente ici un ensemble de pièces issues du patrimoine de la Ville, mis en scène sous la forme d’hologrammes flottants dans la vitrine. Les objets présentés en 3D, deviennent donc malléables au sens où le spectateur peut réellement interagir avec en choisissant son point de vue de présentation, ou bien en simulant son utilisation. Bright White, agence de design basée à York, propose ici une nouvelle opportunité de développer les outils numériques en les appliquant à la mise à disposition de contenus et d’informations adaptables auprès des publics et surtout d’une manière inédite et originale.
Communiqué de presse
Désignée en 2013 ville créative par l’UNESCO, la ville d’Enghien-
Pour l’occasion, cette exposition collective se veut une vitrine capable de retranscrire l’effervescence artistique de ce réseau international en prenant pour point de départ la question de la ville. Partant de ce qui façonne l’identité de chacun, son histoire, son patrimoine, son développement et ses projets, chaque partenaire propose le travail d’un ou plusieurs artistes capable(s) de confronter l’ADN de chaque lieu avec la question du numérique et des outils de demain.
La ville comme dénominateur commun devient tour à tour le support de cartographies imaginaires, à l’intérieur desquelles il est possible d’envisager d’autres paysages et de nouveaux usages. Un propos qui dresse une actualité des possibles, des virtualités multiples ou des artefacts imaginaires au sein de mondes alternatifs.
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Gilles Aillaud
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Marika Prévosto
À
sandie hatem
jul 1 à 2h10 PM
Gilles Aillaud, Le silence sans heurt du présent
En coproduction avec les Musées des beaux-
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Exposition du 10 décembre 2016 au 05 mars 2017.
Fondation Maeght, 623 chemin des Gardettes – 06570 Saint-
Exposition du 10 décembre 2016 au 30 mars 2017.
Espace de l’Art Concret, château de Mouans – 06370 Mouans-
À l’Espace de l’Art Concret, mettant en jeu le concept d’art total dans C’est à vous de voir..., , Pascal Pineau investit les espaces du Château pour en retrouver la fonction originelle, interrogeant la valeur d’usage des œuvres. Expérimentant les limites du décoratif et de l’ornemental, il ouvre un dialogue entre pièces issues de l’artisanat, du design, objets de brocante et œuvres d’art ‘proprement dites’. Ainsi, les salles d’exposition se transforment en une succession d’espaces domestiques fictifs. Cuisine, bureau, salon, chambre d’enfant, suite parentale… chaque pièce peut se percevoir comme un portrait en creux de l’artiste qui pose un regard introspectif sur une trentaine d’années de pratique artistique.
Sur l’invitation de Pascal Pinaud, Alexandre Curtet, fondateur de Loft interior designers, a été sollicité pour concevoir l’aménagement intérieur de ces espaces en dialogue avec ses œuvres, mais aussi celles d’artistes avec lesquels ce dernier partage des affinités esthétiques, comme Noël Dolla, Mathieu Mercier, Natacha Lesueur, Philippe Ramette…
Archives expositions collectives 1er semestre 2017
Exposition du 21 avril au 13 juillet 2017. Centre des arts, 12-
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